Ils condamnent un homme qui a attaqué un policier à Corrientes avec une machette

Ils condamnent un homme qui a attaqué un policier à Corrientes avec une machette
Ils condamnent un homme qui a attaqué un policier à Corrientes avec une machette
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Un homme qui avait tenté de frapper un policier à la tête avec une machette à Paso de los Libres a été condamné à 2 ans et 8 mois de prison.

L’événement s’est produit fin février et le procès a eu lieu en mai dernier, pratiquement parce que l’accusé se trouvait dans une ville de l’intérieur de La Pampa. Elle était présidée par le juge Marcelo Ramón Fleitas.

Fleitas l’a condamné à deux ans et huit mois de prison pour résistance aux autorités.

Le procureur a lancé une procédure de flagrant délit parce que l’intéressé a été surpris en train de commettre l’acte et que les délais pour le résoudre ont donc été courts.

L’événement s’est produit dans la zone connue sous le nom de « el Bajo » à Paso de los Libres, près du Centre de médiation judiciaire dans la direction terminal-douane, le 5 février 2024 peu avant 21 heures.

Suite à un appel téléphonique alertant de la présence d’un homme à cheval armé d’un couteau dans une attitude suspecte, deux policiers se sont rendus sur place.

Lorsqu’on lui a donné la voix d’un « officier supérieur de la police », il s’est enfui en empruntant une rue locale. Ensuite, un policier s’est mis devant et l’autre derrière. Comme il ne pouvait pas bouger, il est descendu de cheval et a sorti de ses vêtements une machette d’environ 42 centimètres de long et a lancé un coup qui a touché le casque de sécurité d’un officier et a finalement pu s’enfuir.

Pour ne pas être capturé, il est entré dans une maison sans autorisation des propriétaires et a continué à résister avec la machette, mais la police a réussi à le maîtriser.

Le crime et les fêtes

Il s’agissait d’un cas de résistance à l’autorité, prévu et puni par l’article 239 du Code Pénal, avec violation du domicile, article 150 du même règlement, tous deux réalisés en véritable concurrence.

Outre le juge Marcelo Fleitas, la présidente de l’Ofiju, Gabriela Eberto, le procureur Facundo Alfredo Sotelo et la défenseure officielle María Susana Ferreyra sont intervenus.

Source JusCorrientes

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