Réunion du pouvoir judiciaire pour la mise en œuvre de la loi Lucio

Réunion du pouvoir judiciaire pour la mise en œuvre de la loi Lucio
Réunion du pouvoir judiciaire pour la mise en œuvre de la loi Lucio
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Ce lundi, une réunion a eu lieu au Tribunal Supérieur de Justice (STJ) où le contenu qui à l’avenir fera partie de l’application à Chubut de la Loi III n° 49, règlement qui adhère à la Loi 27.709, connue sous le nom de Loi Lucio.

Il s’agit d’un premier pas en vue de garantir la phase de sensibilisation du Plan Fédéral de Formation aux Droits des Filles, des Garçons et des Adolescents sur le territoire provincial. La réunion s’est déroulée en présence de la présidente du STJ, Silvia Bustos ; et la ministre du Développement humain, Elba Willhuber.

La loi III n° 49, promulguée dans les derniers jours d’octobre de l’année dernière, adhère dans son article premier aux dispositions de la loi nationale n° 27 709, qui vise à créer le Plan fédéral de formation sur les droits des filles, des enfants et des adolescents, appelé «Loi Lucio».

La norme établit une formation obligatoire sur le thème des droits des filles, des garçons et des adolescents pour toutes les personnes qui travaillent dans les domaines et agences des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire de la province de Chubut, ainsi que dans les organisations décentralisées, les entreprises du gouvernement provincial. d’État et dans les médias audiovisuels, y compris les médias numériques dont la diffusion, qu’elle soit radiophonique, graphique, numérique ou télévisuelle, a pour origine le territoire provincial.

L’objectif de la réunion était de définir le contenu du plan de formation qu’à l’avenir chacune des Branches de l’État devra préciser avec ses agents respectifs et qui, dans le cas du Pouvoir Judiciaire, sera articulé à travers l’École de Formation Judiciaire.

Désormais, le Ministère du Développement Humain à travers les domaines de l’enfance, de l’adolescence et de la famille sera chargé de préparer le contenu du plan de formation, ainsi que de sa révision et de sa mise à jour dans le futur. Une fois établie, chacune des puissances de l’État doit mettre en œuvre une formation obligatoire.

Participaient également à la réunion la sous-secrétaire au Développement humain et à la famille, Iona Barcena ; le sous-secrétaire aux droits de l’homme, Richard Alejandro Alvarenga ; le directeur général de l’enfance, de l’adolescence et de la famille, Christian Aprosoff ; la directrice provinciale du Bureau de lutte contre la traite et la traite des êtres humains, Daniela Cejas ; La conseillère familiale de Rawson, Gabriela Alexia López et Victoria Galende, rapporteuse du Bureau du Défenseur général, ainsi que Silvia Brito, du Conseil provincial de l’enfance, de l’adolescence et de la famille. Nadine Laporte et Laura Lezcano ont fréquenté l’École de formation judiciaire.

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