Cordoue : Un législateur a demandé des rapports sur la vandalisation du site commémoratif de la “Casa de Hidráulica” – ENREDACCIÓN – Córdoba

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Le législateur provincial, Walter Gispert (Frente Cívico), a demandé des rapports du Pouvoir Exécutif pour savoir « quelles actions sont menées pour clarifier ce qui s’est passé contre la signalisation du Site de Mémoire connu sous le nom de « Maison Hydraulique » et sur les mesures qui « Ils sont mis en œuvre pour remplacer la signalisation endommagée.

Le législateur du département de Punilla souligne que l’agression et la vandalisation « ne constituent pas un événement isolé, mais font partie d’un cadre qui se développe dans toute la Nation, dans le cadre de discours négationnistes et de remise en question de toutes les années de lutte pour la Mémoire, la Vérité. et la justice. »

Le législateur provincial, Walter Gispert (Civico Front). (Photo : avec l’aimable autorisation de La Jornada / Archives).

ÉpecÉpec

La vandalisation de la signalisation de ce site de mémoire, situé à environ 500 mètres du mur du barrage de San Roque, avait été signalée il y a quelques jours. Gispert se souvient qu’un centre clandestin de détention, de torture et d’extermination opérait dans cet espace pendant la dernière dictature civilo-militaire de 1976.

Quatrième trimestreQuatrième trimestre

Il souligne également que « diverses organisations de défense des droits de l’homme telles que : la Commission provinciale de la mémoire de Cordoue, l’Espace pour la mémoire et la promotion des droits de l’homme ex CCDTyE « La Perla », l’Espace pour la défense de la mémoire et la promotion des droits de l’homme ex CCDTyE « Campo La Ribera» et les Archives provinciales de la mémoire ont rendu public leur rejet des événements survenus.

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MAISON HYDRAULIQUE

La signalisation de l’ancien centre de détention clandestin Casa de Hidráulica – « El Embudo », situé sur la route 38 et la route 55, à 500 mètres de l’entonnoir et du mur du barrage de San Roque, a été réalisée en mai 2010, selon le ministère provincial. Commission de la Mémoire de Cordoue (CPMC).

BulletinBulletin

Le site Internet du CPMC indique qu’« entre 1976 et 1980, la Casa Hidráulica a été transformée en centre de détention clandestin par le D2 (Département d’information de la police de la province de Cordoue). Le soi-disant Chalet de Hidráulica était un autre des CCD qui opéraient au sein du circuit répressif conçu par la dictature. Contrairement à La Perla et La Ribera, elle était dirigée par les policiers D-2.

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Il ajoute que « les larges galeries de ce chalet coloré, construit à l’origine comme lieu de réunion du conseil d’administration de la Direction provinciale de l’hydraulique dans les années 1940, ont vu défiler les policiers les plus sadiques de la province de Cordoue. Dans ce véritable « bunker », ils venaient démonter les voitures volées, infliger toutes sortes de tortures, assassiner et disparaître.

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