sept ans de prison pour un homme pour avoir violé une fillette de huit ans

sept ans de prison pour un homme pour avoir violé une fillette de huit ans
sept ans de prison pour un homme pour avoir violé une fillette de huit ans
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DIARIO HUARPE ne mentionne pas l’accusé pour veiller à l’intégrité physique et mentale de la victime, une fillette de huit ans, avec laquelle il entretenait une relation familiale. Si vous avez connaissance d’un incident d’abus sexuel sur des mineurs, signalez-le au 911 ou au commissariat de police le plus proche. Vous pouvez également contacter le parquet d’Anivi à Jáchal ou à San Juan.

La Justice de Jáchal a condamné, ce vendredi 28 juin 2024, un homme pour avoir violé la fille de sa compagne, une fillette qui n’avait que huit ans. L’accusé a accepté une peine de sept ans de prison pour les délits d’abus sexuels avec accès charnels et menaces, selon des sources judiciaires du deuxième district judiciaire de San Juan.

L’homme, après avoir accepté la version abrégée, se rendra directement au Service provincial des pénitenciers. L’individu, qui n’avait aucun casier judiciaire, a reconnu avoir commis des crimes d’abus sexuels gravement scandaleux ; abus sexuels avec accès charnel; menaces coercitives en compétition réelle au détriment de la jeune fille, en tant qu’auteur pénalement responsable.

L’accord de procès abrégé a été conclu entre le procureur du deuxième district, Sohar Alfredo Aballay, et le défenseur officiel Franklin Sánchez, dont l’accord a été approuvé par le juge Eduardo Vega. Le procureur Aballay a enquêté sur l’incident avec les procureurs adjoints Patricio Díaz et Yanina Peri.

Les faits

Les attentats se sont produits dans une maison de la zone rurale de Jáchal. L’accusé, aujourd’hui reconnu coupable, a peloté sa victime âgée de huit ans à plusieurs reprises avant le viol. Les événements aberrants se produisaient toujours lorsque l’agresseur et la victime étaient laissés seuls au domicile de leur mère.

Le jour du viol, survenu entre novembre et décembre 2023, l’accusé est entré dans la pièce où se trouvait la jeune fille et a verrouillé la porte. Ensuite, il a dit à la fille qu ‘«il allait jouer avec elle». En constatant que l’accusé avait verrouillé la porte, la victime s’est mise à crier sans l’aide de personne. C’est justement à ce moment-là que le condamné l’a prise et a eu un accès charnel à elle.

Après avoir conclu à l’aberration, l’accusé, avant de quitter la pièce, a dit à la mineure de ne rien dire car il allait la tuer ainsi que sa famille et que la jeune fille allait regretter ce qu’il allait faire.

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