Nouveau directeur de l’ENRESS de Santa Fe nommé temporairement et par décret

Nouveau directeur de l’ENRESS de Santa Fe nommé temporairement et par décret
Nouveau directeur de l’ENRESS de Santa Fe nommé temporairement et par décret
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Par décret, le pouvoir exécutif a nommé un nouveau directeur au sein de l’Entité de régulation des services de santé. C’est l’ing. Jorge Alberto Bachur, un professionnel de carrière avec plusieurs années de service dans l’organisation. Il s’agit d’une nomination temporaire, pour une durée d’un an, et son objectif est de garantir le quorum qui fait défaut à l’ENRESS depuis décembre 2023, avec seulement deux administrateurs faisant fonction sur les cinq qui la composent.

À la fin de cette période, si le gouvernement entend renouveler le rôle de Bachur, il devra envoyer le document correspondant au Parlement. Mais les douze mois qu’il faudra s’écouler seront déterminants pour définir la destinée et le fonctionnement de l’organisation. Déjà lors de sa dernière présentation à la Chambre des Députés, la présidente d’ASSA, Anahí Rodríguez, avait reconnu que le rôle de l’entité, qui avait été essentiellement conçu pour l’époque où l’entreprise d’assainissement était entre des mains privées, devra être repensé.

L’un des rôles centraux de l’ENRESS, en plus de statuer de manière non contraignante chaque fois que l’ASSA demande une augmentation des tarifs, est de valider les augmentations des 400 fournisseurs de services d’eau potable et d’égouts que compte la province.

Le décret d’appellation précité introduit cependant une modification en ce sens. Il précise que compte tenu de la situation économique pressante de ces entités, il est nécessaire “adopter des actions urgentes qui offrent une alternative à la manière d’actualiser les tarifs”, c’est pourquoi il est entendu qu’il convient « d’établir un mécanisme administratif transitoire à ces fins, apporter de l’agilité à la procédure de révision (…), sans retarder le contrôle approprié ultérieur, ni affecter la capacité de paiement des membres.” En résumé, la proposition vise à rationaliser le mécanisme d’autorisation des tarifs des coopératives, de sorte que, temporairement, elle supprimera le pouvoir susmentionné de ENRESS, qui pourra ensuite « vérifier » l’augmentation accordée.

Cette « agilité » s’imposera à travers la délégation « exceptionnelle et temporaire » aux communes et communes du pouvoir d’autoriser des évolutions tarifaires. Ces administrations pourront désormais approuver des augmentations, à condition qu’elles s’ajustent aux indices d’inflation officiellement enregistrés, ainsi qu’à d’autres facteurs tels que l’évolution des coentreprises et la croissance du personnel.

Dossier N° 01901-0011090… par El Litoral

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