Milei a souligné la pertinence de ces idées, même si, selon lui, elles semblent passées de mode. “Je fais aujourd’hui cette brève déclaration pour sa défense, car ces idées semblent être passées de mode. Je crois que C’est une étape importante pour l’Argentine pouvoir être présent au G7 puis ici au sommet de la paix”, a-t-il déclaré.
Dans une autre section, le Président a abordé la situation argentine. “Cela fait partie d’un grand tournant que nous prenons en tant que pays après des décennies passées à tourner le dos au monde”, a-t-il déclaré.
“Il y a une nouvelle Argentine qui embrasse une fois de plus les idées qui en ont fait il y a des années l’un des pays les plus prospères du monde. Et il y a une nouvelle Argentine qui cherche aussi à retrouver la place de premier plan dans le concert des nations qu’elle avait autrefois et qu’elle n’aurait jamais dû abandonner”, a-t-il souligné.
En outre, Milei a déclaré : « L’Argentine s’engagera toujours à défendre les idées qui ont fait la grandeur de l’Occident. Pour nous, la paix entre les nations libres n’est pas seulement un devoir moral, mais une condition nécessaire à la prospérité. »
Et il a évoqué la guerre d’Ukraine contre la Russie. “Mon maximum de soutien au peuple ukrainien et à mon ami Zelensky, nous rejetons tout type de violence et de guerre comme mécanisme illégitime pour résoudre les conflits entre nations. La guerre ne pourra jamais être la réponse à des problèmes qui doivent être résolus dans le domaine politique”, a-t-il souligné.
Le Président participe au Sommet accompagné de la secrétaire générale de la présidence, Karina Milei, et de la ministre des Affaires étrangères Diana Mondino.
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