encore une fois en dessous des 8 000 décès annuels

encore une fois en dessous des 8 000 décès annuels
encore une fois en dessous des 8 000 décès annuels
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Cordoue/Jusqu’en 2020, Cordoue n’avait jamais dépassé barrière des 8 000 décès annuels. L’émergence de la pandémie de Covid et ses conséquences dévastatrices ont multiplié les décès dans la province, au point d’enregistrer un record de 8 699 en 2022 après trois années consécutives de hausse : 8 393 cette année marquée par le coronavirus et 8 427 en 2021. Mais la tendance semble avoir changé avec la minimisation des effets de ce virus qui a secoué le monde, depuis 2023 il laisse à nouveau un chiffre inférieur à 8.000 décès, même si c’est à peine : 7.998 selon les données du rapport, qui est provisoire pour l’instant. , Décès par cause de décès publié par l’Institut national de la statistique (INE) ce mercredi 26 juin. Comme cela est désormais courant, les maladies du système circulatoire et différentes tumeurs sont les principales causes de mortalité.

En fait, la somme des décès causés par problèmes cardiovasculaires et cancer, dans ses différentes modalités, représentent plus de la moitié (53%) des 7 998 qu’il a quittés l’année dernière. Une année 2023 au cours de laquelle 3 979 hommes et 4 019 femmes ont perdu la vie dans la province, et au cours de laquelle l’influence du Covid, heureusement, a été considérablement réduite, ne laissant que 97 décès au total sur une année qui a fermé la porte de la pandémie avec l’élimination. à la mi-juin du port obligatoire du masque dans les hôpitaux, les centres de santé et les centres sociaux de santé, comme les pharmacies. En effet, au cours des trois années précédentes, les conséquences du coronavirus ont laissé 1.706 décès, soit une moyenne annuelle presque égale, donc cette réduction de la maladie affecte directement la baisse des décès à nouveau en dessous de 8.000.

Avec ces données, De quoi meurt-on à Cordoue ? Le rapport publié par l’INE laisse un détail important : l’augmentation de près de quatre points du poids du nombre total de décès provenant de maladies de l’appareil circulatoire, avec comme cause principale des problèmes cérébrovasculaires et des accidents vasculaires cérébraux, et des tumeurs. Sur le solde de 2022, son influence était de 49,7 % et elle est désormais de 53 %. Les deux restent cependant dans des chiffres similaires, puisque le premier groupe atteint 2.246 – contre 2.395 en 2022 – et le second en ajoute 1.998 – l’étude précédente en laissait 1.935 -, de sorte qu’ils atteignent globalement 4.244 décès sur un total de 7.998.

Malgré la diminution en chiffres ronds, le poids de ces 2.246 décès causés par des maladies de l’appareil circulatoire reste identique à ceux des années précédentes, soit plus d’un décès sur quatre du total. En effet, après être restés à 27,5% l’année dernière, ils dépassent désormais à nouveau les 28%, comme cela s’est produit en 2020 et 2021. Parmi ces décès, l’essentiel se concentre sur trois conséquences : accident vasculaire cérébral ou problème vasculaire cérébral, avec jusqu’à 549, le mélange d’autres types de maladies (477), d’insuffisance cardiaque (351) et de maladies hypertensives (327). L’infarctus aigu du myocarde (203) et d’autres cardiopathies ischémiques (223) occupent également une place importante.

Les décès dus à des problèmes respiratoires augmentent

L’autre cause majeure de mortalité à Cordoue, qui, contrairement à la moyenne nationale, reste inférieure aux problèmes cardiovasculaires, est le cancer, dans ses différents types, puisqu’il approche les 2 000 décès (1 998), ce qui représente 24,9% du total (dernier année, avec un peu moins de décès, son influence était de 22,2 %). Parmi les tumeurs les plus dangereuses figurent celles du trachée, bronches et poumonavec 384 décès, et les tumeurs malignes du côlon, avec 222. Plus d’une centaine de décès sont également ceux du sein (112), du pancréas (106) et de la prostate maligne (103), en plus de ceux d’origine mal définie, secondaire et de localisations non précisées, qui restent à 99 et tumeur maligne de l’œsophage (83).

Les groupes suivants qui causent le plus de décès dans la province sont les maladies du système respiratoire, qui totalisent 968 et parmi lesquels se distinguent ceux causés par des problèmes chroniques des voies inférieures (242), la pneumonie (216), l’insuffisance respiratoire (48) ou l’asthme (23) ; les maladies du système digestif, qui atteignent 453, dont 92 proviennent de cirrhose et d’autres maladies chroniques du foie ; troubles mentaux et comportementaux, qui totalisent 367 avec une influence presque totale de problèmes organiques, séniles et préséniles (356 du total), et de maladies du système nerveux et des organes sensoriels (375), dont 169 causées par la maladie d’Alzheimer et 204 intégrées dans le sac mélangé d’autres. En outre, à cause de problèmes endocriniens, nutritionnels et métaboliques, 350 Cordouans sont morts, dont 258 à cause du diabète sucré.

Enfin, il convient de souligner la section qui fait référence aux décès causés par des causes externes de mortalité, qui s’élèvent à 251. Dans ce groupe, ils occupent une place plus que prédominante. suicide et automutilation (82), chutes accidentelles (75), noyades, submersion et suffocation accidentelles (29) et accidents de la route, qui totalisent 25 victimes en 2023, ce qui a permis à Cordoue oublier les années Covid, repassant une nouvelle fois sous la barre des 8 000 décès annuels.

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