Le partenaire du ministre Vivanco demande au procureur national de ne pas remettre les chats à la Commission d’éthique de la Cour suprême

Le partenaire du ministre Vivanco demande au procureur national de ne pas remettre les chats à la Commission d’éthique de la Cour suprême
Le partenaire du ministre Vivanco demande au procureur national de ne pas remettre les chats à la Commission d’éthique de la Cour suprême
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Gonzalo Migueles, partenaire de la ministre Ángela Vivanco, a demandé au procureur national, Ángel Valencia, que le ministère public ne remette pas les chats à la Commission d’éthique de la Cour suprême, où lui et le procureur régional d’Aysén, Carlos Palma Ils apparaissent dans l’enquête contre l’avocat Luis Hermosilla. Migueles fait valoir que la demande « dépasse de loin les pouvoirs » de la commission et que les réviser serait une « transgression des droits fondamentaux », puisque Ce sont des conversations privées.

Dans une lettre de huit pages, Migueles a indiqué qu’il ne pouvait pas être lié à la commission puisqu’il n’est pas membre du pouvoir judiciaire et n’est donc pas soumis à ses règlements. Selon lui, cette demande représente « une violation flagrante du règlement » et constitue un abus de pouvoir de la commission.

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Migueles souligne que les conversations sont privées et protégées par des garanties constitutionnelles. “Son examen et analyse arbitraire par la commission, qui agit en dehors de son cadre organique, représente une transgression des droits fondamentaux de mon client”, il ajouta.

L’avocat de Migueles, Jorge Villalobos, a soutenu que « le système juridique a nécessairement certaines limites »soulignant que seuls le ministère public et les tribunaux pénaux ont le pouvoir de mener de telles enquêtes, publie La Tercera.

Selon la lettre, la demande de la Commission d’éthique « constitue un acte illégal » et pourrait être considéré comme un crime, puisqu’elle cherche à accéder à des informations secrètes obtenues dans le cadre d’une procédure pénale.

Le document demande au procureur de Valence de refuser la remise des dossiers à la Commission d’éthiquearguant que sa révision constituerait une « transgression directe » des réglementations et des droits constitutionnels.

#Chile

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