Avec Monét X Change et la chanson emblématique « Nothing Really Matters », Madonna a ouvert son show historique à Rio de Janeiro

Avec Monét X Change et la chanson emblématique « Nothing Really Matters », Madonna a ouvert son show historique à Rio de Janeiro
Avec Monét X Change et la chanson emblématique « Nothing Really Matters », Madonna a ouvert son show historique à Rio de Janeiro
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Madonna se produit lors d’un concert sur la plage de Copacabana à Rio de Janeiro, Brésil le 4 mai 2024. REUTERS/Pilar Olivares

Vêtue d’une élégante tenue noire, l’emblématique Madone a ouvert son spectacle en Rio de Janeiro avec « Nothing Really Matters », une chanson qui célèbre la force de l’esprit humain et qui a trouvé un écho auprès de la foule rassemblée au légendaire Plage de Copacabanasur terre comme en mer.

Vers 22h30, heure locale, la célèbre chanteuse de 65 ans a défilé le long d’un vaste podium suspendu qui partait du célèbre hôtel Copacabana Palace, son lieu d’hébergement, jusqu’à atteindre une impressionnante scène de 800 mètres carrés, une structure qui double de taille par rapport aux scènes utilisées lors des représentations précédentes de leur tournée.

Fidèle à son style lors de cette tournée, la superbe reine de la pop a débuté son show avec une heure de retard. Son habitude particulière a reçu des plaintes de plusieurs de ses partisans pour « pratiques commerciales trompeuses ». Mais le public de Copacabana était euphorique et a crié sauvagement lorsque le drag queen Monet X Changement est apparu en train de se pavaner dans une réplique de la tenue que Madonna portait dans la chanson emblématique Vogue pour ouvrir la présentation.

Fidèle à son style lors de cette tournée, une superbe Madonna a commencé son show avec une heure de retard (REUTERS/Pilar Olivares)

Après un début splendide, Madonna a pris un moment pour saluer le public brésilien et s’est excusée de ne pas parler portugais, mais a soutenu avec émotion que ce spectacle était un rêve devenu réalité.

Puis il a pris une guitare et a enchaîné avec « Burning Up », une chanson rock qu’il a écrite en 1983 « sur une scène du Lower East Side de New York. «C’était très petit, sale et il y avait une bouteille de Coca Cola. « C’est là que tout a commencé », dit-il en faisant référence à sa composition brute.

Il a continué avec “Ouvrir votre cœur», où elle s’est amusée avec ses danseurs, qui sont montés sur scène en tenues de lingerie noire, et ont reçu quelques baisers, caresses et gifles de l’artiste.

Madonna a pris un moment pour saluer le public au Brésil et s’est excusée de ne pas parler portugais, mais elle a dit avec émotion que ce spectacle était un rêve devenu réalité (REUTERS/Pilar Olivares)

Célébrer” et “Vivre pour raconter», étaient les sujets suivants. Dans ce dernier, les écrans projetaient des photos de Freddie Mercury, Renato Russo, il Cazuza brésilienne et d’autres artistes victimes du VIH, qui ont reçu un hommage sous le choc et les larmes du public.

Ce formidable concert gratuit marque la fin de The Celebration Tour, qui célèbre les 40 ans d’histoire de Madone. Les jours précédents, on prévoyait un afflux de 1,5 million de personnes, ce qui s’est traduit par une fête massive dans les rues de la ville, où l’artiste est le seul thème central.

L’imposante scène est reliée par une passerelle au luxueux hôtel Belmond Copacabana Palace, et plus de 270 tonnes d’équipement ont été déplacées pour sa construction, dont une imposante structure mesurant 800 mètres carrés et 2,5 mètres de haut, qui permet aux spectateurs de profiter du spectacle. sous tous ses angles.

La célèbre chanteuse de 65 ans a défilé le long d’un vaste podium suspendu qui partait du célèbre hôtel Copacabana Palace, son lieu d’hébergement, jusqu’à atteindre une impressionnante scène de 800 mètres carrés (REUTERS/Ricardo Moraes)

Pour le « concert de la décennie » annoncé, 150 000 toilettes portables ont été préparées le long de la côte, en plus de 50 hôpitaux mobiles, de postes de police mobiles et d’une centaine de poubelles et de personnel de nettoyage. Les compagnies de téléphone n’étaient pas loin derrière et ont installé des antennes et des réplicateurs pour maintenir la stabilité des réseaux Internet.

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