Menem a précisé que le procès-verbal contenant les modifications appliquées par le Sénat n’est pas encore entré dans le Chambre des Députés. “L’Argentine n’a pas changé, elle a encore besoin de la loi et que nous puissions exprimer ce que le peuple a voté dans les urnes. Je pense que nous n’aurons pas de problèmes”, a prédit le député de La Rioja des progrès de la liberté.
Bien qu’il ait déclaré avoir une idée des changements, “il lui serait difficile de comprendre que les mêmes députés qui ont voté il y a 45 jours en faveur d’un projet ne puissent pas voter en faveur de ce même projet”.
Martín Menem confiant dans l’approbation de la loi Bases
“Ce qu’il faut définir, c’est quels changements appliqués au Sénat nous acceptons et lesquels nous n’acceptons pas”, a-t-il déclaré, ajoutant : “Nous allons essayer de faire en sorte qu’il n’y ait pas de dynamisme dans le changement de vote. Je pense que nous vont très bien s’en sortir.” .
Pour Martin Menemla Bases du droit C’est “la première loi transcendante dont disposaient tous les gouvernements”, a-t-il déclaré : “Il m’est difficile de croire que nous n’allons pas donner au président la loi comme il l’a demandée”. “Ce sont nos priorités”, a souligné le président de la chambre basse.
Chambre des Députés
Ignacio Petunchi
De plus, il a expliqué que Députés sera consacré à discuter des changements envoyés par le Sénat et ne pourra pas introduire de nouvelles réformes. En ce sens, il a jugé que pour les appliquer, il devait atteindre le même nombre que la Chambre haute.
“Loi de base Il existe déjà. Reste à définir de quel type nous allons avoir, que ce soit l’original, celui modifié par le Sénat, ou un mélange. Je n’ai aucun doute que d’ici le 9 juillet, la loi sera sanctionnée”, a-t-il promis, avançant la date de l’éventuelle sanction.
De même, il a souligné la tâche du chef d’état-major, Guillermo Francosdans les négociations, et a réitéré en énumérant l’impôt sur le revenu, le patrimoine personnel et les privatisations comme les aspects centraux sur lesquels le parti au pouvoir insistera lors de la discussion de la loi au sein des députés.