la vie aujourd’hui de Coto Matamoros

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Il fut un temps où les jumeaux José Antonio et Juan Francisco Matamoros Hernández (Coto et Kiko) étaient synonymes de réussite et capables de générer d’énormes sommes d’argent. On sait pratiquement tout sur Kiko parce que toujours lié à la télévision Mais qu’est-il arrivé à Coto ces dernières années ? A 67 ans, l’ancien collaborateur de télévision, qui a acquis une grande notoriété grâce à ses collaborations sur Chroniques martiennes à la fin des années 90 et au début des années 2000, est revenu au présent grâce à plusieurs interviews accordées à deux podcasts.

Dans le dernier, appelé Le créneaua assuré que Xavier Sardà était chargé d’instruire inviter des invités à votre table simuler des combats, affrontements et autres scandales afin d’augmenter l’audience. Bien évidemment, le présentateur a exprimé sa surprise comme si de rien n’était. Coto asegura que “le decía a una tía: ‘hombre, eres un poquito golfa’ y él me decía: ‘llámala puta’, y yo decía: ‘eres una pedazo de puta’ y entonces Sardà decía: ‘¡Coto, por Dios ! Qu’est-ce que tu dis?'”.

Le plus gros truc est sorti en janvier dernier dans Le huitième passager où il a avoué que Il prenait toujours de la drogue malgré un accident vasculaire cérébral il y a sept ou huit mois. “Je n’abandonne rien. La vie est une attitude. Je sais que les gens, avec l’âge, peuvent tout abandonner. Il y a un risque, c’est évident, on peut avoir une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral… […] Mais la vie si tu n’éprouves pas ou ne cherches pas d’émotions C’est pénible. Contre toute attente, je me tiens plus jeune que je ne devrais l’être,” il a allégué. Quand j’étais adolescent, c’était héroïnomane, Il a essayé l’ayahuasca, la cocaïne et le DMT, ce dernier étant le plus fort qu’il ait jamais connu dans sa vie.

L’été dernier Il s’est installé en Galice pour échapper à la chaleur excessive d’Ibiza et d’Alicante, villes dans lesquelles il vivait jusqu’à ce moment-là. Il atterrit à Saint-Jacques-de-Compostelle, mais s’installe finalement à La Corogne, puisque l’homme d’affaires Brais Palmero lui offre la possibilité de séjourner dans un nouveau concept d’hébergement appelé le débarras de Palmero. Là, il se consacre à s’écraser dans le salle de sportpour se promener dans les vieilles rues et profiter du vie nocturne “J’aime beaucoup cette ville parce que j’y étais quand j’étais enfant”, a-t-il publié La voix de la Galice.

Jusqu’à atteindre le territoire des meigas (car il y en a), il faut remonter jusqu’à Chroniques martiennes quand le collaborateur Il a gagné 18 000 euros grâce à une intervention de nuit. C’est dit bientôt. Et si l’on tient compte du fait qu’il y allait deux ou trois fois par semaine, ses revenus à la fin du mois s’élevaient facilement à 200 000 euros. Des chiffres énormes qui ont été gaspiller en fêtes et en drogue.

En 2009, il avait avoué son intention de se suicider et s’est rendu en Thaïlande pour échapper à la justice espagnole. non-paiement de la pension alimentaire à sa fille María (44 ans) pendant des années et est finalement entrée dans le prison d’Aranjuez (Madrid) pour cette raison. En 2010, il quitte Madrid pour s’installer dans la tranquille Saragosse, où il vit depuis de nombreuses années.

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