Ils ont tiré des gaz lacrymogènes sur les législateurs et ont frappé les manifestants avec des matraques – Diario El Ciudadano y la Región

Ils ont tiré des gaz lacrymogènes sur les législateurs et ont frappé les manifestants avec des matraques – Diario El Ciudadano y la Región
Ils ont tiré des gaz lacrymogènes sur les législateurs et ont frappé les manifestants avec des matraques – Diario El Ciudadano y la Región
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La police a réprimé les manifestants et les députés de l’Unión por la Patria aux portes du Congrès avec des gaz lacrymogènes et des canons à eau alors qu’ils voulaient se joindre pacifiquement au rassemblement contre la loi Bases alors qu’elle était débattue au Sénat. Plus tard, la répression s’est intensifiée, des personnes en uniforme étant frappées à coups de pelles et plus de vingt personnes arrêtées.

Parmi les personnes touchées par les gaz se trouve Carlos Castagneto, qui a dû être assisté sur place, tandis qu’Eduardo Valdés, Luis Basterra et Juan Manuel Pedrini ont dû être transférés à l’hôpital Santa Lucia avec des brûlures aux yeux.

Outre la Police Fédérale, des membres de la Gendarmerie et de la Préfecture ont participé à l’opération mise en œuvre par le Ministère de la Sécurité Nationale.

“Nous avons commencé à marcher vers la place et la gendarmerie et la police ont commencé à nous approcher, à nous encercler et à lancer des gaz”, a déploré la députée Cecilia Moreau, fille de Leopoldo Moreau, dans des déclarations à la presse.

“Nous nous sommes identifiés comme députés et la réponse a été de nous lancer des gaz”, a déploré son collègue Pedrini.

Plus tard, les manifestants ont jeté des pierres sur les hommes en uniforme et lancé des grenades gazeuses et des jets d’eau. Avec l’intensification de la répression, les forces de sécurité ont poussé les colonnes de manifestants hors de la Plaza de los Dos Congresos vers les rues environnantes, où ils ont retourné des voitures et y ont incendié, y compris un téléphone portable appartenant à la Cordoue. Chaîne 3.

Le porte-parole présidentiel, Manuel Adorni, s’est fait l’écho de cette situation sur les réseaux sociaux : « Ils jettent des pierres sur les forces de sécurité. Peu de choses sont aussi antidémocratiques que la gauche argentine », a écrit le responsable.

À l’arrivée du crépuscule, un calme tendu s’est maintenu, les manifestants étant éloignés du Congrès et contenus par des barrières de police, tandis que le Sénat avançait vers le vote général.

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