Bases et loi du monotribut : comment sont les échelles et qu’arrive-t-il à la figure sociale

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De nombreux contribuables attendent avec impatience la réglementation, étant donné que la deuxième recatégorisation annuelle commence en juillet. La monotaxe sociale ne disparaît pas.

Maintenant oui, comme prévu, les députés ont approuvé la Loi des Bases et le paquet fiscal, et entre autres points cela modifie le Monotax : Les niveaux de facturation et les frais mensuels à payer augmentent. C’est pourquoi de nombreux contribuables l’attendaient avec impatience, notamment parce que À partir de juillet, s’ouvre la deuxième recatégorisation annuelle.

La norme étend également les limites de facturation des emplacements et des services, avec de nouvelles catégories pour ce segment, les équivalant à la vente de mobilier.

Monotaxe sociale

Dans ce régime, la monotaxe sociale est enfin maintenue, un régime qui permet aux secteurs de l’économie populaire de facturer leurs activités commerciales, avec un tarif mensuel réduit. La suppression de ce chiffre figurait dans la réforme fiscale initiale, mais le Sénat l’a rejetée et elle a été acceptée.

La discrimination entre les travaux, les emplacements et la prestation de services est éliminée avec la vente de biens aux fins de catégorisation dans le régime.

Depuis la réforme, tous les petits contribuables ayant des activités de construction, des emplacements et des prestations de services pourront également adhérer et/ou rester dans le régime s’ils répondent aux paramètres jusqu’à la catégorie K.

Selon la catégorie, les montants de facturation augmentent de 301% à 401% et le montant des loyers annuels accumulés augmente de 211% à 309%.

Le prix de vente unitaire maximum pour les vendeurs de biens est augmenté de 213 % pour toutes les catégories.

Frais fiscaux

Tout comme les paramètres de cadrage dans chaque catégorie sont augmentés.les taux d’imposition augmentent, sécurité sociale et travail social

Dans le cas des travaux, des implantations et des prestations de services, le taux d’imposition augmente entre 278% et 510%, le taux de sécurité sociale entre 212% et 343% et le taux d’assistance sociale entre 212% et 214%. Dans le cas de la vente de biens (biens meubles), le taux d’imposition augmente entre 282% et 336%, le taux de sécurité sociale entre 212% et 708% et le taux d’assistance sociale entre 212% et 214%.

Cela implique que l’augmentation de la cotisation totale pour ceux qui paient les trois composantes (impôts, sécurité sociale et action sociale) passe de 219% à 353%.

Il niveau de facturation maximum annuellement selon catégoriesserait le suivant :

  • À: De 2 108 288,01$ à 6 450 000 : + 206 %
  • b: De 3 133 941,63$ à 9 450 000 : + 202 %
  • c: De 4 387 518,23$ à 13 250 000 :+ 202%
  • d: De 5 449 094,55$ à 16 450 000 : 202 %
  • ET: De 6 416 528,72$ à 19 350 000 : +202%
  • F: De 8 020 660,90$ à 24 250 000 : + 202%
  • g: De 9 624 793,05$ à 29 000 000 : + 201 %
  • h: De 11 916 410,45$ à 44 000 000 : + 269 %
  • Yo: De 13 337 213,22$ à 49 250 000 : + 269 %
  • J.: De 15 285 088,04$ à 56 400 000 : + 269 %
  • K: De 16 957 968,71$ à 68 000 000$; +301%.

La redevance mensuelle totale à payer (impôts, cotisation retraite et santé) aurait les valeurs suivantes (localisations et services) :

  • À: de 12 128,39$ à 26 600 : une augmentation de 119,3%
  • b: de 13 561,75$ à 30 280 : 123,3%
  • c: de 15 503,51$ à 35 458 : 128,7
  • d: de 19 497,94$ à 45 443,80 : 133,1%
  • ET: de 26 945,97$ à 64 348,18 : 138,8%
  • F: de 33 137,61$ à 80 983 : 144,4%
  • g: de 38 694,95$ à 123 696,20 : 219,7%
  • h: de 66 111,51$ à 280 734,68 : 324,6%
  • Pour le reste 3 catégories qui s’ajoutent à l’emplacement et aux services, Les frais sont de 517 608,55 $, 626 931,97 $ et 867 084,75 $ par mois.

Avec ces valeurs, il est possible que certains monotributistes ne devraient pas être mis à niveau et certains peuvent même être reclassés dans une catégorie inférieure.

Le Monotax présente un décalage de mise à jour, puisque son facteur d’ajustement est l’indice de mobilité des retraités qui n’a pas accompagné l’inflation croissante de ces dernières années.

Les monotributistes exclus tout à fait raison à partir du 1er janvier 2024 par l’application des paramètres en vigueur avant la modification, Ils pourront réadhérer, pour la seule fois, au régime sans attendre les 3 ans requis par la Loi Monotaxe. Techniquement, cette disposition ne s’applique pas aux monotributistes qui, avant de dépasser les paramètres, sont passés au régime général.

De plus, la nouvelle norme supprime l’exonération fiscale pour certains monotributistas des catégories A et B. Actuellement, les monotributistes des catégories A et B ne payaient pas cette partie du quota tant qu’ils ne percevaient pas de revenus provenant d’un travail en relation de dépendance, de fonctions publiques, de retraites, de pensions ou de retraits ; pour appartenir à la direction, à l’administration ou à la direction d’entreprises ; pour la location de biens immobiliers, de biens personnels ou d’investissements.

Avec les informations de Clarin

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