La municipalité d’Antofagasta doit verser une indemnité millionnaire à Serviu pour l’arrêt des travaux sur l’avenue Ejercito.

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Un total de 458 305 984 $ par concept de dégâts La municipalité d’Antofagasta doit payer le Service de logement et d’urbanisme (Serviu) de la région, en raison des coûts que ce dernier a dû assumer après l’arrêt des travaux de l’Avenue de l’Arméedans le tronçon compris entre Homero Ávil et la route 26. Cette décision a été ordonnée par le Quatrième Tribunal Civil de la ville après avoir accepté le procès intenté par l’organisme public.

Dans le jugement, la juge Susana Tobar Bravo a condamné la municipalité pour manque de service, après avoir confirmé qu’elle avait paralysé le projet en mars 2020, en exigeant un permis d’aménagement inapproprié.

«(…) il a été prouvé que le retard dans la programmation initiale du projet en question était dû au fait qu’une fois l’exécution des travaux commencée, les fonctionnaires de la municipalité d’Antofagasta les ont paralysés, exigeant des exigences de Serviu et l’entreprise de construction, en violation des réglementations légales en vigueur et de ses propres actes, qui ne peuvent être qualifiées que de négligence ou de manque de service, compte tenu des connaissances et de la qualité technique des fonctionnaires municipaux qui sont intervenus dans la conception et doit être la phase d’exécution des travaux appelés « Amélioration de l’Avenida Ejercito entre H. Ávila et la Route 28, Antofagasta », affirme le jugement.

La résolution ajoute que : « (…) le report des travaux et l’augmentation des délais, avec les conséquences économiques associées, c’est-à-dire la génération de frais généraux, que légalement et conformément à l’accord, Serviu Antofagasta est obligé de payer au société de construction du projet automobile, étaient une conséquence de la position persistante des fonctionnaires de la municipalité défenderesse consistant à exiger un permis d’urbanisation inapproprié et à ignorer les autorisations de projets spécialisés préalablement approuvés.

«(…) le fait que les profils de projet n’étaient pas conformes à l’actuel instrument d’aménagement du territoire aurait dû être constaté et corrigé au moment où la municipalité a été invitée à participer à la conception du projet, au cours des années 2015, 2016 et 2017. (selon les rapports ordinaires nos 4007, 0961, 1487, 2106, 3644, 3296 et 4015 du directeur du Serviu Antofagasta), accompagnée de la demanderesse à la page 47, ce qu’elle n’a pas fait, et au contraire, a approuvé l’aménagement paysager projet le 15 décembre 2016, selon Ord. N° 1678/2016 du maire de la commune. À cet égard, il est contraire aux propres actes de la municipalité que, plus tard, et une fois dans la phase d’exécution du projet, elle allègue un impact sur les espaces verts inclus dans le terrain du projet, comme l’a déclaré le directeur des travaux dans le DOM/Oficio No. 403/2022, du 19 octobre 2022, déjà détaillé”, ajoute-t-il.

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