La presse officielle appelle à la fermeté envers les éleveurs de Camagüey qui ne livrent pas de lait

La presse officielle appelle à la fermeté envers les éleveurs de Camagüey qui ne livrent pas de lait
La presse officielle appelle à la fermeté envers les éleveurs de Camagüey qui ne livrent pas de lait
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Havana/Parmi les 8 023 guajiros qui ont signé un contrat avec l’État cette année à Camagüey, plus de la moitié – 4 198 – n’ont pas livré quotidiennement du lait à la province et, parmi eux, 1 792 « ne livrent pas un seul litre ». La situation, qui aggrave la production déjà en déclin du territoire d’élevage par excellence de l’Île, a été dénoncée ce jeudi par la presse officielle.

“La province continue de s’engager à augmenter les livraisons de lait à l’industrie, même si fin mai elle n’a pas atteint le décollage final attendu”, lance le journal local. Avant, qui ne pardonne ni aux éleveurs « apathiques » ni aux autorités de laisser passer les pièges des paysans et de ne pas exiger « une augmentation des livraisons ». En tête de liste se trouve la municipalité de Guáimaro.

« La tendance négative est appréciée. De janvier à mai, les volumes collectés sur le calendrier actuel ont été de 11.158.000 litres contre 13.320.000 l’année dernière à la même date», précise le média. La raison de la baisse de plus de deux millions de litres, ajoute-t-il, est que les autorités n’ont pas la main assez forte avec les éleveurs, « sachant que dans chaque territoire de la province, on sait que les gens font preuve d’apathie ou de désintérêt pour leurs produits. .contributions respectives à l’économie nationale.

Le journal affirme même que « les prix payés aux producteurs ne peuvent pas en être la cause », même si les Guajiros eux-mêmes ont souligné à plusieurs reprises les faibles quantités d’Acopio comme l’une des raisons fondamentales pour lesquelles l’élevage n’est pas rentable pour eux. . Mais Avant Il insiste : ils sont payés 38 pesos, « le maximum par litre », et il existe même une mesure de relance pour ceux qui surperforment, 70 pesos par litre.

Cependant, les médias n’ignorent pas le prix du lait sur le marché informel, qui apporte bien plus d’avantages aux agriculteurs.

Cependant, les médias n’ignorent pas le prix du lait sur le marché informel, qui apporte bien plus d’avantages aux agriculteurs et leur permet – contrairement aux prix Acopio – de couvrir les dépenses qu’ils engagent dans leurs exploitations. « Nous devrons examiner pourquoi les défaillants sont facturés 114 pesos pour chaque litre non livré, car ce n’est un secret pour personne que le vendre sur le marché informel pour 160-170 et même dans certaines rues de la ville, comme celle de l’Industrie, ont-ils demandé. clients pour 200 pesos, ils en profitent en leur faveur », précise l’article.

En outre, souligne-t-il, les « hauts et les bas » de la production et les problèmes de réfrigération dus aux coupures de courant ont fait que seul le lait du panier réglementé est livré aux enfants de moins de sept ans, tandis que le produit a disparu des régimes médicaux.

Las autoridades, según el medio, no pierden la esperanza de que en lo que queda de año, y aprovechando la primavera –etapa óptima para la producción– la industria remonte de los 200.000 litros diarios que se entregan actualmente hasta los 360.000 que se han logrado en d’autres occasions. La situation laisse cependant de côté les attentes de pouvoir atteindre les 52 millions de litres proposés pour 2024, un objectif bien inférieur à celui de 2023, qui prévoyait 69 millions, même si seulement 42 ont été produits.

Au début de cette année, lorsque AvantSelon ces chiffres, les causes de la baisse de la production en 2023 sont autres : le salaire dans l’industrie “est bien inférieur à celui offert par d’autres formes de gestion économique, notamment non étatiques”. Concrètement, les autorités avaient promis un salaire mensuel moyen d’environ 5 000 pesos, qui s’est finalement révélé inférieur à 3 400 pesos. “La productivité était de 25%”, déclarait à l’époque le journal provincial. Les salaires n’ont pas changé, mais cette année, ce sont les producteurs qui en sont responsables.

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