Jusqu’à mercredi, les cinéphiles pourront profiter de la série “Semaine du cinéma portugais”

Jusqu’à mercredi, les cinéphiles pourront profiter de la série “Semaine du cinéma portugais”
Jusqu’à mercredi, les cinéphiles pourront profiter de la série “Semaine du cinéma portugais”
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  • Deux films sont projetés par jour à la Cinéclub Municipale.
  • Les billets coûtent entre 1 600 $ et 3 000 $, sont achetés une demi-heure avant le début du film et sont payés en espèces et/ou par débit.

Jusqu’au mercredi 26 juin, les cinéphiles portugais pourront profiter de 10 films qui seront projetés à la Ciné-club municipale « Hugo del Carril », située au 49, boulevard San Juan.

La Semaine du cinéma portugais (produite et programmée par VAIVEM, avec le soutien de Camões IP, l’Ambassade du Portugal en Argentine, la Fundação Calouste Gulbenkian, la Cinémathèque portugaise, la Câmara Municipal de Lisboa, Malba et Sala Lugones du Teatro San Martín) cherche être un espace de découverte, d’échange et de rencontre cinéphile avec l’une des cinématographies contemporaines les plus stimulantes et les plus particulières.

Pour réaliser cette activité, collaborent l’Université Torcuato Di Tella, le Musée du Film Pablo Ducrós Hicken, La Vida Útil -Film Magazine- et le Festival international du film documentaire FIDBA de Buenos Aires.

Les prix d’entrée générale varient de 1 600 $ à 3 000 $ pour ceux qui ne sont pas membres de l’Association des Amis du Ciné Club Municipal Hugo del Carril. Pour ceux qui font déjà partie, le coût des billets est de 600 $.

A noter que les billets ne peuvent être achetés qu’à la billetterie du Cinéclub, une demi-heure avant le début de chaque représentation, aucune réservation ni prévente n’est effectuée et le paiement s’effectue en espèces et/ou par débit.

Calendrier des films :

Quels mots peuvent, à 18h00 En 1972, toujours en pleine dictature, fut publié un livre révolutionnaire, inestimable et pionnier dans les courants littéraires féministes : Novas Cartas Portuguesas. Ses auteurs, Maria Isabel Barreno, Maria Teresa Horta et Maria Velho da Costa (Les Trois Marie), furent immédiatement poursuivis pour délits contre les bonnes mœurs et le livre fut interdit par la police politique. Des décennies plus tard, ce portrait collectif les rassemble pour reconstituer leur histoire à la première personne.

La mort d’une ville, à 23h00 Un ancien bâtiment est démoli pour construire à sa place des appartements de luxe. João Rosas enregistre la vie quotidienne des travailleurs au travail et révèle tout ce qui se cache sous la surface : la spéculation immobilière, l’exploitation des travailleurs migrants, la ville qui change de peau, un paysage qui disparaît et un nouveau visage qui émerge des décombres. .

Je ne suis rien, à 15h30 Edgar Pêra les réunit en personnages de chair et de sang dans ce film – présenté comme un cinénigme -, tous réunis dans « The Nothing Club ». Jusqu’à ce que l’arrivée d’une mystérieuse femme brise l’harmonie tendue de cette confrérie. Le scénario est co-écrit par Luísa Costa Gomes, l’une des écrivaines les plus prolifiques et ingénieuses de la littérature portugaise contemporaine.

Ville de Rabat, à 20h30 Helena est productrice de films et a une fille adolescente. Ses journées semblent se dérouler sans chocs majeurs, mais la mort de sa mère – qu’il a accompagnée et soignée ces dernières années – sème une incertitude cachée dans sa vie.

D’Terra Manga, à 18h00 Rosa a quitté sa famille au Cap-Vert pour chercher une vie meilleure au Portugal, mais là-bas, elle découvre bientôt que la vie en banlieue est dure et dangereuse. Seule la musique semble fonctionner comme une soupape d’échappement émotionnelle face à cette réalité oppressante.

Où est cette rue ?, à 23h00 Un film qui enregistre et célèbre Lisbonne assume son affiliation avec un autre qui a également su le faire il y a des décennies. Les temps sont différents ; magnétisme et fascination, c’est pareil.

Pour ceux qui souhaitent plus d’informations, vous pouvez entrer le lien suivant : https://cineclubmunicipal.org.ar/#

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