La Rioja promeut la coordination entre les services sanitaires et sociaux dans les maisons de retraite

La Rioja promeut la coordination entre les services sanitaires et sociaux dans les maisons de retraite
La Rioja promeut la coordination entre les services sanitaires et sociaux dans les maisons de retraite
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La ministre de la Santé et de la Politique sociale, María Martín, a informé le Conseil de gouvernement tenu aujourd’hui 25 juin du traitement de la demande nouveau décret qui réglementera les soins coordonnés dans les maisons de retraite de La Rioja, tant du côté des services sociaux que de celui de la santé, en remplacement du document précédent datant de 1998. Le responsable de la santé a expliqué que « ce sera le premier une fois qu’un soutien réglementaire sera accordé au « Social » soins, modèle de cures de santé que nous avons commencé à mettre en œuvre dans notre communauté dans le but d’augmenter la qualité des soins des soins de longue durée que nous offrons aux personnes âgées.

Martín justifie la nouvelle stratégie par le fait que, dans une société de plus en plus vieillissante et souffrant de maladies chroniques, qui connaît d’importants changements sociaux, culturels et législatifs, “nous ne pouvons pas continuer à proposer les mêmes solutions”. Et, poursuit-il, « lorsque des personnes ont besoin de soins de longue durée, ni le système de santé ni le système des services sociaux ne peuvent à eux seuls apporter une réponse adéquate ». D’où l’engagement envers « le nouveau paradigme socio-sanitaire qui sera désormais normativement soutenue et qui impliquera la modification des portefeuilles de services que SERIS et les services sociaux ainsi que les résidences elles-mêmes fournissent aux personnes qui y ont leur résidence habituelle.

Pour déterminer le personnel que les résidences doivent accréditer, un ratio minimum de médecins, infirmières, physiothérapeutes et ergothérapeutes sera établi ; et un ratio global au deuxième niveau de soins

Entre autres aspects, María Martín a indiqué que le décret établira les ratios et la catégorie des professionnels qui s’occupent des résidents des centres pour personnes âgées, en adaptant les exigences au système actuel coordonné entre le Social et la Santé, et en rendant plus flexible le cadre de soins, en partant du principe que les tâches ne doivent pas primer mais plutôt le soin de la personne. Le décret actuel signifie Un incrément nombre très important de personnels de soins directs de premier niveau dans la catégorie des géroculteurs au regard du décret de 1998.

Pour déterminer le personnel que les résidences doivent accréditer, un ratio minimum de médecins, infirmières, physiothérapeutes et ergothérapeutes sera établi ; et un ratio global au deuxième niveau de soins qui offrira aux centres une plus grande flexibilité pour embaucher d’autres profils qui s’adaptent aux besoins de soins et d’attention des résidents ou renforceront ceux pour lesquels ces minimums ont été indiqués. De même, que les professionnels qui s’occupent des personnes âgées soient bien formés est également une préoccupation du gouvernement de La Rioja qui sera incluse dans le décret, qui indiquera expressément que une formation sera dispensée par l’intermédiaire du Service de Santé de la Rioja.

UNITÉS SPÉCIALES

L’un des points importants sur lesquels repose le nouveau modèle de soins est la création d’unités de soins de santé spéciales dépendant des soins primaires qui ils bougeront aux résidences pour renforcer le suivi de la santé des usagers. Ainsi, le conseiller a confirmé le démarrage du service comme projet pilote dans les centres de la zone de La Guindalera, établissant un contrôle personnalisé de chaque cas et renforçant la coordination entre l’AP et les zones de soins hospitaliers (Gériatrie de liaison, Hospitalisation à domicile et Palliatifs) qui couvrent soins aux personnes âgées qui y sont admises.

Le décret inclura un autre aspect essentiel de l’action socio-sanitaire, sur lequel le ministère a également pris des mesures, à savoir l’interopérabilité entre le système public de santé et le système de services sociaux.

Le décret inclura un autre aspect essentiel de l’action socio-sanitaire, sur lequel le ministère a également pris des mesures, à savoir l’interopérabilité entre le système public de santé et le système de services sociaux. Plusieurs mesures sont incluses ici, certaines déjà mises en œuvre comme l’accès à dossier médical électronique à toutes les résidences, ou l’échange d’informations sociales, la gestion de tests complémentaires, l’envoi et la réception d’analyses cliniques ou l’accès au registre des directives anticipées du gouvernement de La Rioja.

Le texte du décret a déjà été soumis à une consultation préalable via le portail « Participa » du gouvernement de La Rioja et son traitement administratif commence désormais avec consultation publique et saisine du Conseil sectoriel des personnes âgées et du Conseil des services sociaux de la Rioja, les plus hautes instances de participation en matière de personnes âgées. Les rapports du Secrétariat Technique Général du Ministère de la Santé et des Politiques Sociales seront également obligatoires ; du Service Organisation, Qualité et Évaluation ; de la Direction générale des services juridiques et du Conseil consultatif de La Rioja. Enfin, il doit être approuvé par le Conseil de gouvernement.

On estime qu’elle pourrait entrer en vigueur après l’été. A partir de ce moment, le nouvel accord-cadre qui régira les prochains contrats de places publiques dans les résidences sera approuvé.

On estime qu’elle pourrait entrer en vigueur après l’été. A partir de ce moment, le nouvel accord-cadre cela régira les prochains contrats de places publiques dans les résidences et ce sera alors que sera annulée la résolution d’exonération des pénalités établie dans les contrats que l’administration maintient avec les centres de gestion des lieux publics. En janvier de cette année, ces sanctions ont été suspendues dans l’attente d’une adaptation de la réglementation à la nouvelles exigences du modèle de soins sociosanitaires.

Enfin, María Martín a rappelé que l’adoption de ce nouveau modèle signifie aligner notre communauté autonome sur les priorités établies dans le Pilier européen des droits sociaux. Plus précisément, avec le principe 18 « Soins de longue durée », qui établit que chacun a droit à des soins de longue durée abordables et de bonne qualité. De plus, il prend en compte l’Agenda 20-30, notamment l’Objectif de Développement Durable (OSD) 3, qui vise à garantir une vie saine et à promouvoir le bien-être à tous les âges.

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