Le rendez-vous aura lieu à la gare Belgrano, à partir de 9h30.
L’article 35 de la norme prévoit la création d’une commission de suivi dont la mission est de convoquer les différents secteurs qui interviennent pour suivre périodiquement la situation.
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Les invitations pour la première réunion ont été lancées par le Secrétaire de la Production et de l’Emploi du Municipalité de Santa FéRosario Alemán, qui sera également accompagné de représentants des zones de contrôle, d’autorisations et de défauts.
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Maiquel Torcatt / Aire Digital
En même temps, il y aura aussi les trois conseillers qui composent la Commission : les radicaux Léandro González et Carlos Pereira plus le Justicialiste Jorgelina Mudallel. Diverses associations et chambres d’affaires se joindront à la table, dont l’Association des entrepreneurs hôteliers gastronomiques de Santa Fe (AEHGSF). Il y aura également des représentants de bars, clubs et centres commerciaux, entre autres.
“L’objectif est de travailler ensemble entre toutes les parties, d’écouter les revendications et, sur la base de l’expérience, d’améliorer l’ordonnance”, a noté le Conseil.
Vie nocturne à Santa Fe : les sujets à l’ordre du jour
La principale préoccupation des secteurs économique et culturel est le régime horaire strict. cela a été établi dans l’ordonnance. Depuis quelque temps, ils évoquent la possibilité de « rendre plus flexibles » certaines instances pour favoriser un plus grand afflux de clients.
“Les horaires, la redéfinition des saisons, les événements de qualité, la musique avec des horaires restreints, le zoning, ont été les principales situations auxquelles nous avons été confrontés ces mois-ci”, a expliqué Rosario Alemán.
À leur tour, les protagonistes consultés ont reconnu la nécessité d’être attentifs et de suivre de près la situation économique difficile que traverse le secteur, avec une baisse de la demande et des augmentations des taxes et des services.
Le secteur des bars et des lieux de loisirs souffre depuis des mois, ce qui se traduit par une baisse des ventes, avec des baisses d’environ 40 %, des fermetures de magasins et des pertes d’emplois.
