Le Parlement a approuvé la création d’un registre des biens utilisés pour lutter contre les vols et le marché noir

Le Parlement a approuvé la création d’un registre des biens utilisés pour lutter contre les vols et le marché noir
Le Parlement a approuvé la création d’un registre des biens utilisés pour lutter contre les vols et le marché noir
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Pièces auto et motos à l’honneur

Le pièces automobilesle vélos et les éléments technologiques Ce sont là quelques-uns des actifs qui pourraient désormais être davantage contrôlés. L’objectif maximum est clair : rendre le marché noir moins rentable pour les criminels.

La nouvelle législation permettra aux forces de sécurité de procéder à des inspections et de vérifier la légalité des avoirs et de leur documentation.

Le texte du projet souligne que de nombreux biens, comme les vélos, sont actuellement en dehors du registre établi par le Décret 1 189/10, bien qu’ils soient couramment soumis au marché illégal. En outre, des critiques sont adressées à Loi 9 169 sur les pièces automobiles pour limiter les interventions des forces de sécurité, en les soumettant au ministère public. La nouvelle législation permettra aux forces de sécurité de procéder à des inspections et de vérifier la légalité des avoirs et de leur documentation..

Le système de contrôle proposé comprend la création de un dossier systématisé pour le suivi des biens personnels usagés à vendre, afin de régulariser ce marché et éliminer le commerce illégal.

Il y aura un régime de sanctions pour ceux qui vendent des biens personnels sans preuve de leur origine légale.

La nouvelle législation établit également que Les communes peuvent être dépositaires des biens saisis et ceux-ci peuvent être vendus aux enchères, détruits, compactés. ou acquis par le Ministère de la Sécurité et de la Justice. Dans le cas de pièces automobiles et de pièces détachées d’occasion, toute personne ou entité qui commercialise ou stocke ces pièces devra être enregistrée au Registre Unique des Chantiers Navals et Activités Connexes (RUDAC) et respecter la réglementation de la Direction Nationale de la Propriété Automobile et des Crédits de Gage.

Finalement, il est établi un régime de sanctions pour ceux qui vendent des biens meubles sans preuve de leur origine légale. Les sanctions comprennent des amendes de 1 000 à 4 000 UF ou une arrestation de 40 à 60 jours.

Avec cette approbation, le projet attend désormais le promulgation par le gouvernement provincial.

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Débat et accords. En face, la péroniste Adriana Cano et la radicale Natacha Eisenchlas.

Discussion et précisions

La règle que le ministre de la Sécurité a présentée à l’époque, Mercedes Russie, vise à influencer certaines zones où la circulation d’objets volés est très courante. Elle remplace l’ancienne loi 8.124 de 2009, qui établissait une procédure analogique pour ce type de transactions. Maintenant, comme mentionné ci-dessus, Le suivi sera plus agile et sous la modalité numérique.

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Le ministre Rus s’est félicité de l’approbation du projet.

Le membre rapporteur était le radical Maria Galiñaresqui a souligné que le nouveau registre permettra à tout citoyen vérifier si le vendeur est autorisé et connaître l’origine du bien. L’autorité chargée de l’application de la loi sera le ministère de la Sécurité, avec la possibilité de collaborer avec des organisations nationales, provinciales et municipales.

Le système proposé comprend également un contrôle rigoureux des établissements dédiés à l’achat et à la venteainsi que la documentation nécessaire pour garantir le traçabilité des marchandises. Des pouvoirs sont accordés au ministère de la Sécurité pour inspecter et agir immédiatement en cas de violationsconformément aux lois en vigueur.

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Au cours du débat, le sénateur Chapelle Dugardu Parti Vert, a exprimé son soutien au projet, tout en suggérant la nécessité d’une base juridique plus solide sur les implications de l’enregistrement.

Le sénateur Vicchi allemandchef de bloc Le syndicat Mendozaa approuvé l’initiative, mais a souligné la nécessité de préciser quels types de biens seront inclus au registre, puisque la définition de « bien meuble » dans le Code civil est très large.

Depuis le Parti justicialistele sénateur Pierre Serra a également exprimé son soutien au projet, bien qu’il ait critiqué son manque de spécificité et sa focalisation limitée sur les transactions physiques, sans aborder de manière adéquate les commerce en ligne.

En réponse à ces préoccupations, Le sénateur Galiñares a précisé que le projet comprend un article spécifique dans le Code des contraventions (article 116 bis), qui prévoit des sanctions pour la vente de biens personnels usagés sur Internet. sans justification d’origine légale. Cela permettra aux cyber-agents de poursuivre et de sanctionner ces activités.

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