La Cour Supérieure de Justice appelée à réformer la loi organique pour rejoindre la régionalisation de Figueroa

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Le pouvoir judiciaire de Neuquén a franchi une nouvelle étape dans l’engagement pris avec le gouverneur Rolando Figueroa d’adapter toute son organisation au système des sept régions. La présidente de la Cour supérieure de justice, Soledad Gennari, a décidé par décret de créer une commission chargée de rédiger un avant-projet de nouvelle loi organique.

Actuellement, la division territoriale du pouvoir judiciaire se fait par circonscriptions. Il y en a cinq au total et chacun a un en-tête : Capitale Neuquén, Cutral Co, Zapala, Chos Malal et Junín de los Andes.

En mai dernier, le président et les quatre membres se sont rendus à la Maison du Gouvernement et ils ont signé un document dans lequel ils assumaient la proposition de division de Figueroa comme la leur. Il se compose de sept régions : Nord, Sud, Confluencia, Région pétrolière, Centre-Ouest, Vaca Muerta et Medio Limay.

Il existe des circonscriptions qui coïncident pratiquement en tout avec les localités incluses dans chaque région, et dans d’autres cas, la différence est totale.

Ce n’est pas seulement une question de nom. Toutes les juridictions (civiles, familiales, pénales) sont réparties territorialement par arrondissements, ce sera donc une très grande transformation.

Pour l’instant, Gennari a créé cette commission qui rédigera l’avant-projet de loi organique du pouvoir judiciaire. Il sera composé de : un représentant la présidence de la Cour supérieure de justiceun pour le Secrétariat de surintendanceUn pour le domaine du Contrôle Administratif, de Gestion et Techniqueet un pour le Sous-secrétaire au Plan.

Le même décret fixe les nominations : les représentants de la présidence iront Carla Pandolfi, par le Secrétariat de la Surintendance, Lorena Guerreiro, par le domaine du Contrôle Administratif, de Gestion et Technique, Gustavo Lucero, et par le Sous-secrétariat au Plan, Céleste Bolán Reina.

Dans les fondements du décret, le député a assuré que le plan de régionalisation “vise à renforcer la proximité des agences de l’État avec les citoyens, afin d’apporter des réponses rapides et efficaces aux demandes locales, en promouvant la déconcentration administrative provinciale, la participation des acteurs régionaux et locaux et planification stratégique conjointe.

Il ajouta: “Il est nécessaire d’évaluer les différents aspects de la loi organique de la magistrature sur lesquels aurait un impact la régionalisation envisagée, et il est impératif de constituer une équipe de travail pour rédiger l’avant-projet en question.”

Celui qui prend les devants dans ce dossier est le procureur général, José Gerez, qui Il a déjà réorganisé le ministère public conformément à ce que le gouverneur avait demandé.

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