tension au sein de l’UCR et de l’UP parce que le gouvernement fait pression pour ajouter des voix

tension au sein de l’UCR et de l’UP parce que le gouvernement fait pression pour ajouter des voix
tension au sein de l’UCR et de l’UP parce que le gouvernement fait pression pour ajouter des voix
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Une autre préoccupation officielle concerne le nombre d’approuvateurs de la taxe. La Constitution indique qu’elle peut insister avec une majorité absolue des présents – ce qui serait comme la simple – mais il y a une discussion pour savoir si, parce qu’il s’agit d’une question fiscale, elle n’a pas besoin de la moitié plus un des prémisses.

Parmi les dialoguistes, ils disent que ce n’est pas le cas car il s’agit d’un impôt déjà existant. Pour éviter ce débat, le parti au pouvoir souhaite obtenir 129 voix. Ils sont trois de moins que le 30 avril pour approuver le chapitre sur les bénéfices, rejeté ensuite au Sénat.

Appels de gains

Pour atteindre les 129 visés, le parti au pouvoir fait pression sur les gouverneurs péronistes, qui bénéficient d’une augmentation de la co-participation, et sur les radicaux sans terre, qui ont rencontré ce mercredi Guillermo Francos. Ils se plaignent du fait que les dirigeants de leurs provinces ne contribuent pas aux voix et bénéficieront de la taxe. Au sein du bloc, on dit que cette réunion n’a pas permis de rapprocher les positions, comme le voulait le chef d’état-major.

Au milieu de la séance, les négociateurs du parti au pouvoir se sont efforcés d’additionner les voix. Comme il le savait Lettre pil y a eu de nombreux appels aux représentants de l’UCR de la part du président de la Chambre, Martin Menem; et le chef de La Libertad Avanza, Gabriel Bornoroni.

Dans ce bloc, quatre membres ont soutenu Profits en avril et hésitent désormais à l’approuver à nouveau : Karina Banfi (Buenos Aires), Gabriela Browning de Koning (Cordoue), Pablo Cervi (Neuquén) et Roxana Reyes (Sainte Croix). Ils faisaient partie de la délégation qui a rendu visite à Francos ce mercredi.

Comme expliqué Lettre p, Cervi, Reyes et Banfi ne veulent pas favoriser leurs gouverneurs, qui recevront des fonds de l’augmentation des bénéfices des contributeurs et n’apporteront pas de voix. Browning de Koning exige que les maires de Cordoue soient récompensés pour leur soutien. Au sein du parti au pouvoir, on vous demande de voter pour, même si les rebelles préfèrent l’abstention. L’UCR n’a pu obtenir aucune des huit voix contre elle en avril pour revoir sa position.

Tous contre Jalil

À Unión por la Patria, il y a un violent conflit interne autour de la décision du gouverneur de Catamarca, Raul Jalil, pour demander à ses quatre représentants de bloc de contribuer à l’approbation du chapitre sur les bénéfices. En avril, le président a obtenu un vote favorable (Sébastien Noblega) et trois abstentions, dont celle de Silvana Ginocchiol’épouse du président.

Comme expliqué Lettre pLors de la réunion de bloc de ce mercredi, Ginocchio a annoncé qu’avec ses compatriotes, il contribuerait à sanctionner les bénéfices.

Ce jeudi matin, il y a eu une autre réunion du caucus UP, dirigé par Allemand Martinez. Les référents ont décidé de voter contre et ont attendu une réaction de Catamarca qui n’est pas venue. Des sources de cette province ont confirmé Lettre p que Jalil a demandé de voter pour et, dans ce cas, les abstentions et les positifs pourraient être distribués afin de ne pas créer de tensions avec la magistrature. Le gouverneur pourrait demander au moins deux voix pour, pour montrer à Franco qu’il a fait le poids.

En guise de geste envers l’UP, le groupe Catamarca n’a pas voulu soutenir la loi omnibus, une option qu’il évaluait jusqu’à mercredi, pour ratifier le soutien au Registre des Incitations aux Grands Investissements (RIGI). Pour cette opinion, le parti au pouvoir dispose de suffisamment de voix.

Le sort du gouvernement était évident dès le début, lorsque Menem lui a demandé dans un message Twitter au gouverneur de La Rioja, Ricardo Quintela, pour l’aider à voter pour approuver les bénéfices, afin de ne pas perdre 75 milliards de dollars supplémentaires grâce à la co-participation. Francos l’a convoqué ce vendredi pour réactiver les travaux publics. Il ne serait pas le seul dirigeant péroniste dont le téléphone sonnait à ce moment-là. Ils sont tous nécessaires.

#Argentina

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