L’inspection du DNI exclut toute participation aux prétendues interceptions de magistrats

L’inspection du DNI exclut toute participation aux prétendues interceptions de magistrats
L’inspection du DNI exclut toute participation aux prétendues interceptions de magistrats
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“Il a exclu, dans la limite du raisonnable, que la Direction nationale des renseignements ait participé aux prétendues interceptions”, a-t-il ajouté. C’est la conclusion du rapport de l’Inspection Générale du DNI concernant les plaintes pour « arnaques » présumées aux magistrats des Hautes Tribunaux.

Le rapport présente les conclusions des enquêtes internes concernant les tâches de renseignement et de contre-espionnage impliquant de hauts dignitaires et des membres du pouvoir judiciaire. Dans une brève déclaration, le DNI souligne que “Dans le référentiel de l’entité, il n’y a aucune information relative aux honorables magistrats de la Cour suprême de justice.”

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L’Inspection répond aux soupçons communiqués à l’organisation par des magistrats de la Cour suprême de justice, dirigés par son président de l’époque, Fernando Castillo Cadena, concernant d’éventuelles écoutes illégales. Les togados ont exprimé leur inquiétude à au moins trois reprises.

« Il a analysé les missions de travail de renseignement et de contre-espionnage réalisées au second semestre 2023, liées aux recherches sur Internet, et a exclu le profilage des hauts dignitaires de la justice», détaille le rapport d’inspection.

Ces conclusions étaient connues au moment même où une nouvelle polémique était en cours en raison de possibles « trucs » cette fois au magistrat de la Cour Constitutionnelle, Jorge Enrique Ibáñez, son épouse et quatre magistrats auxiliaires.

Face à cela, l’Inspection a ordonné l’ouverture d’un processus de vérification.

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« L’Inspection générale a décidé d’ouvrir la vérification respective. La même situation est imputable au De hauts dignitaires de la Juridiction Spéciale pour la Paix, qui ont exprimé la même préoccupation», indique le communiqué de l’agence de renseignement.

Les interceptions illégales sont une pratique ancienne permettant d’exercer un contrôle sur l’opposition et le pouvoir judiciaire. FCette question a été très controversée sous le gouvernement de l’ancien président Álvaro Uribe.

Depuis son arrivée au pouvoir, le chef de l’État Gustavo Petro a tenté de rester à l’écart des actions qui lui permettraient d’être lié à des mandats antérieurs. Les plaintes actuelles concernant le « putain » l’ont placé dans le même scénario où les gouvernements étaient accusés d’exercer un contrôle illégalement.

Cependant, depuis le Eles dirigeants insistent sur le fait qu’aucune action ne respecte l’autonomie des pouvoirs.

“Desde el inicio de su Gobierno, el Señor Presidente de la República, Doctor Gustavo Petro Urrego, ordenó a la Inspección General que se verificara el cumplimiento estricto de la ley de inteligencia, dentro de los más altos estándares de respeto, protección y garantía de les droits de l’homme. Mandat que ce Bureau a rempli, afin d’éviter que la persécution des hauts dignitaires de la justice, comme cela s’est produit dans le passé, ne se reproduise”, conclut le DNI.

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