une nouvelle audience entre l’UTA et les chambres de commerce s’est terminée sans accord

une nouvelle audience entre l’UTA et les chambres de commerce s’est terminée sans accord
une nouvelle audience entre l’UTA et les chambres de commerce s’est terminée sans accord
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«Nous devons toujours endurer le mal mais jamais le bien», ont-ils déclaré du secteur syndical.

Photo Ignacio Petunchi

Jeudi après-midi, il y a eu un nouvelle réunion parmi les membres du syndicat Syndicat des tramways automobiles (UTA) et les chambres de commercequi s’est terminé sans accordà la veille de la grève générale CGT du 9 mai.

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Du côté du syndicat, ils ont déclaré lors de la réunion : « Nous avons écouté et écouté de multiples raisons, mais cette étape est désormais terminée, nous avons besoin de conformité. Les entrepreneurs peuvent avoir des stratégies pour se conformer et ne pas se conformer, réduire les coûts, les diagrammes, les services et les travailleurs doivent soutenir le système avec leur force et leur sang-froid.

Ils ont également affirmé que « les accords sont signés pour être respectés », et que « encore une fois, nous, les travailleurs, nous trouvons confrontés à un manque de certitude quant à la formation de nos salaires. un manque de certitude qui a déjà eu un impact sur nos vies et nos familles”.

En outre, ils ont ajouté : « Comme si cela ne suffisait pas, certains hommes d’affaires ont rendu public à travers les médias qu’ils ils ne vont pas payer le jour de maintien des affectations du 11 avril dernier, ce qui est plus que regrettable et illégal. Les mesures d’autodéfense syndicale ne peuvent être oubliées ni attaquées. Si elles sont appliquées aux salaires de nos personnes protégées, nous nous lèverons par toutes les voies juridiques nationales et internationales afin de réparer les atteintes aux droits syndicaux qui ont été tant violé.

Les chambres de commerce ont ainsi demandé une nouvelle audience, qui a été désigné pour le 10 mai prochain à 13h00.en format virtuel, dans le “but de rassembler les positions qui surmontent les divergences soulevées et, dans le but de poursuivre les négociations”.

La CGT a entériné la grève du 9 mai et demandé au Sénat de ne pas approuver la loi Bases

La La Confédération générale du travail (CGT) a clôturé la mobilisation massive pour la Fête du Travail par une conférence de presse à son siège historique de la rue Azopardo, dans lequel il a précisé que “il n’a discuté ni négocié” aucun projet de réforme du travail avec le gouvernement.

Après 13 heures en ce mercredi férié, les principaux dirigeants de la CGT se sont entretenus avec les médias et ont dressé un bilan de la journée de mobilisations. dans tout le pays pour le 1er mai, tout en exprimant leur inquiétude quant à la demi-sanction de la loi Bases.

“Nous n’avons discuté ni négocié aucun projet, aucune opinion ou demi-sanction sur ce qui s’est passé à la Chambre des députés”, a expliqué Héctor Daer en parlant. En revanche, il a prévu qu’ils poursuivront le plan de lutte, qui comprendra une grève générale le 9 mai : “A aucun moment cela n’a été mis en doute ni discuté”.

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