“Je n’ai aucun doute que d’ici le 9 juillet, la Loi fondamentale sera sanctionnée”

“Je n’ai aucun doute que d’ici le 9 juillet, la Loi fondamentale sera sanctionnée”
“Je n’ai aucun doute que d’ici le 9 juillet, la Loi fondamentale sera sanctionnée”
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Martin Menem Il était convaincu que pour le 9 juilletla nouvelle date prévue pour la signature du Pacte de mai est retardée, le gouvernement national aura le Loi de baseaprès la sanction obtenue au Sénat au milieu de graves incidents extérieurs au Congrès.

“Il y a un quorum et il y a une loi, elle ne peut pas être rejetée. Je n’ai aucun doute que d’ici le 9 juillet, la loi sera déjà sanctionnée“, a-t-il déclaré lors d’un dialogue avec radio Rivadavia.

Le représentant de La Libertad Avanza a ajouté que pour cette troisième instance législative, il reste seulement à définir quel type de loi sera pris en compte : soit celle modifiée par le Sénat, soit la première envoyée par les députés ou un mélange acceptant des modifications.

“Il me serait difficile de comprendre que les mêmes députés qui ont voté en faveur d’un projet il y a 45 jours ne puissent pas voter en faveur du même projet. L’Argentine ne change pas, elle a encore besoin de la loi, des réformes et que nous reflètent institutionnellement ce pour quoi le peuple a voté.” lors des urnes. Je ne pense pas que nous aurons de problèmes”, a-t-il déclaré.

Fin avril, le parti au pouvoir a réussi à accorder une demi-approbation à une nouvelle version plus limitée du projet de Loi fondamentale, qui comprend une réforme du travail, des privatisations et une délégation de pouvoirs, avec un vote général de 142 voix pour, 106 rejets et 5 abstentions.

Jeudi dernier, les sénateurs ont transformé l’initiative en loi, qui doit maintenant revenir aux députés, car le Sénat (la Chambre « de révision » dans ce cas) a introduit des modifications au texte approuvé par les députés le 30 avril. Ainsi, le projet avec des changements revient dans ce qui était sa chambre « originelle » pour sa sanction finale.

En raison de l’égalité des voix, Victoria Villarruel a défini la Loi de base par son vote. Photo Federico López Claro.

Menem a déclaré qu’ils avaient déjà rencontré les législateurs dans le cadre de “dialogues” pour évaluer et définir quels changements seraient acceptés par rapport à la norme. Et il a annoncé que le parti au pouvoir insisterait sur l’impôt sur le revenu, sur le patrimoine personnel et sur la privatisation des entreprises publiques.

Notre position est d’insister. Cet engagement a été l’une des grandes promesses et projets de campagne du Président, le rétrécissement de l’État, qui est le principal problème de l’Argentine, qui a empêché la croissance de l’économie, et les priatisations sont l’un des agendas fondamentaux”, a-t-il souligné.

En outre, il a pointé du doigt le banc kirchnériste pour n’avoir voté en faveur d’aucun des articles inclus dans le paquet de réforme.

“N’ont-ils rien vu qui puisse soutenir un gouvernement ? Cela montre l’intention d’entraver, de détruire et d’entraver. Quand ils gouvernent, ils ont une position, quand un autre gouverne, ils génèrent ce type de désagréments”, a-t-il souligné.

Le chef des députés a déclaré qu’entre la semaine du 24 juillet et les premiers jours du mois de juillet, le texte sera finalement introduit pour être discuté à la Chambre.

Enfin, il a annoncé qu’ils travaillaient sur “un vaste agenda”, a souligné le consensus avec le secteur du dialogue et a donné comme exemple que la Commission de l’Éducation a pu rendre une décision sur “l’essentiel”.

“Il y a plusieurs dossiers où il y a une large marge avec la consolidation de plus de 130 députés, sur lesquels nous allons donner plus de rythme à l’agenda législatif”, a conclu Menem.

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