A un mois de Paris-2024, Cuba inspire › Sports › Granma

A un mois de Paris-2024, Cuba inspire › Sports › Granma
A un mois de Paris-2024, Cuba inspire › Sports › Granma
-

Aujourd’hui, nous ne sommes qu’à un mois de l’allumage de la flamme des XXXIIIes Jeux Olympiques à Paris, ville qui deviendra le 26 la deuxième ville, après Londres, à accueillir à trois reprises le grand événement sportif mondial. Là-bas, Cuba n’a pas renoncé à rester parmi les 20 premiers pavillons nationaux.

Cette finalité vient d’être confirmée par les autorités du mouvement sportif. Il s’agit de ne pas renoncer à continuer de croître dans un travail colossal de créativité et de résistance, face aux tentatives intensifiées de leur ennemi historique, les États-Unis. Le blocus économique, commercial et financier de cette puissance mondiale contre une petite île, en plus d’être génocidaire, parce qu’elle tente de tuer par la faim, est ridicule et stérile. Les athlètes cubains et leurs triomphes le leur ont montré.

Grâce à cette politique, qui comprend l’inclusion des Grandes Antilles parmi les pays présumés sponsors du terrorisme et les 243 mesures coercitives menées par le gouvernement lui-même, l’île accueillera l’une de ses plus petites délégations des 50 dernières années.

Près d’une centaine d’athlètes cubains ont émigré, suite aux pressions provoquées par cette hostilité, à laquelle s’ajoute, dans le cadre du plan, la persécution des athlètes, qui est désormais classée comme délit de traite des êtres humains, même dans le sport multisports. comme cela s’est produit en 2007, aux Jeux panaméricains de Rio de Janeiro, avec une conspiration mafieuse visant à expulser les boxeurs cubains du site. Cependant, celui au toit de verre inclut ce pays dans une autre liste ou rapport obsolète sur la traite des êtres humains. Le nouveau méga-mensonge tente de justifier leur hostilité.

Cuba ne cessera de dénoncer les abus contre elle ou contre tout autre peuple, mais elle ne s’en plaint pas et ne s’y réfugie pas, elle relève le défi et, comme toujours, défie les circonstances. C’est la raison pour laquelle il s’est fixé un standard si élevé, qu’il a maintenu sans interruption depuis l’édition de Munich de 1972.

Il l’entreprendrea, au maximum, avec une soixantaine d’athlètes. Aujourd’hui, elle en compte déjà 47, parmi lesquelles près d’une vingtaine ont des chances de monter sur le podium, et entre cinq et six, au sommet de la scène des récompenses.

Environ cinq médailles d’or est l’estimation pour cet objectif coûteux. Depuis la Foire de Montréal-1976, les délégations de cette partie des Caraïbes ont obtenu cinq prix ou plus, sauf à Pékin-2008, où avec trois elles ont atteint la 19ème place, restant dans les vingt avant-gardistes.

De plus, au cours des cinq dernières éditions, des représentations avec ce nombre de couronnes ont obtenu une place dans cet espace important, parmi plus de 200 délégations.

Mais Cuba, en plus de viser un nouvel exploit, pourrait aussi réaliser plusieurs standards à Paris-2024. Voyons ce que vos héros et héroïnes vont chercher dans la Ville Lumière.

LES LIGNES DIRECTRICES CUBAINES À PARIS-2024

  • Mijaín López est à la recherche d’un exploit d’une autre galaxie, cinq titres consécutifs, dans un sport de combat. Personne ne l’a fait jusqu’à présent.
  • Il pourrait atteindre sa 85ème médaille d’or, aujourd’hui il en compte 84.
  • Il aurait la possibilité d’atteindre, au total, sa 240ème médaille, aujourd’hui il en compte 235.
  • Elle a de grandes possibilités de couronner son premier champion en canoë de vitesse.
  • La boxe, avec deux récompenses, atteindrait son 80ème podium.
  • Si la lutte obtient un métal d’or, ce seraient ses huitièmes Jeux consécutifs avec victoires.
  • Cuba vise à figurer parmi les 20 premiers, pour la douzième fois consécutive.
  • Elle pourrait rester à la 16ème place du tableau historique des médailles des Jeux, d’Athènes-1896 à Tokyo-2020, elle compte aujourd’hui 84 ​​d’or, 69 d’argent, 82 de bronze et un total de 235.

-

PREV Díaz-Canel félicite le nouveau président élu du Mexique › Monde › Granma
NEXT La Rencontre Territoriale avec l’Identité rassemble des agents culturels de tout le sud d’Aysén