Le plus grand syndicat a conclu une entente trimestrielle et le montant de base atteindra 858 200 $

Le plus grand syndicat a conclu une entente trimestrielle et le montant de base atteindra 858 200 $
Le plus grand syndicat a conclu une entente trimestrielle et le montant de base atteindra 858 200 $
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Ce jeudi, un syndicat clé en Argentine a atteint un accord accord commun pour trois mois. Il s’agit de la Fédération argentine des employés du commerce et des services qui, lors d’une réunion avec les chambres de commerce, a convenu des augmentations qui se refléteront dans les salaires de juin, juillet et août. Les nouvelles mises à jour porteront le salaire minimum du secteur à 858 200 $.

Outre la FAECYS, la Chambre de Commerce Argentine (CAC), la Confédération des Moyennes Entreprises (CAME) et l’Union des Entités Commerciales (Udeca) ont participé à la réunion.

L’augmentation convenue est constituée d’une augmentation de 5% pour juin, 4,5% pour juillet et 4% pour août. Avec le présentéisme, cela portera le salaire minimum à 858 200 $, avec le présentéisme.

Armando Cavalieri, secrétaire général de la FAECYS, a déclaré après l’accord sur les augmentations : “Il est essentiel de maintenir une surveillance constante de la situation économique et de l’emploi pour garantir que les ajustements salariaux restent efficaces et ne soient pas dépassés par l’inflation”.

Il a évoqué à son tour l’un des problèmes qui frappent le plus durement l’industrie : la récession économique : “Nous constatons avec inquiétude la hausse du chômage qui commence à se refléter dans certains indicateurs”. Le syndicat des employés du commerce est l’un des plus importants du pays, puisqu’il est celui qui compte la plus grande liste de travailleurs du secteur privé, avec plus de 1,3 million de salariés représentés.

Le Commerce avait déjà conclu un accord conjoint trimestriel en avril dernier, avec un impact entre mars et mai. C’était avec une somme fixe de 40 mille pesos pour le premier mois de la section, 8% pour avril et 7% pour mai.

Auparavant, elle avait conclu un accord pour une augmentation non rémunératrice des bases de 17,6% à partir de février 2024, plus un pourcentage rémunérateur de 11%. La négociation était valable du 1er février 2024 au 31 mars 2024.

Au cours du premier mois de l’année, au plus fort du pic inflationniste, ils s’étaient mis d’accord sur un taux rétroactif pour décembre : il atteignait 11% et s’ajoutait aux 13,3% convenus lors de la précédente clôture commune. De plus, il intègre une augmentation supplémentaire de 20 % pour janvier.

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