alias Salomón était recherché pour plusieurs délits à Bogotá et Soacha

alias Salomón était recherché pour plusieurs délits à Bogotá et Soacha
alias Salomón était recherché pour plusieurs délits à Bogotá et Soacha
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Les autorités ont annoncé la capture de Salomón Fernández Torres, alias “El Salomón”, connu pour être le principal patron du Tren de Aragua et le bras droit du fugitif alias « Niño Guerrero », pour diriger ce groupe criminel à Bogotá et Soacha et qui est chargé de stimuler le trafic de drogue et plusieurs homicides, extorsions, enlèvements et disparitions forcées.

Selon les critères de

Les membres du groupe se trouvaient dans une maison de la ville de Kennedy.

Photo:Police métropolitaine de Bogota

À Bogota, le meneur a concentré ses actions criminelles principalement dans les villes de Kennedy, Bosa, Chapinero, Ciudad Bolívar et Rafael Uribe Uribe, avec des revenus mensuels compris entre 2 000 et 3 000 millions de pesos.

Comment était l’organigramme du Train Aragua à Bogotá ?

Une opération énergique menée par Gaula et la Police Métropolitaine ces derniers jours s’est terminée par la capture de 23 criminels qui dirigeaient différentes lignes criminelles du « Train Aragua » à Bogotá. Mais cette enquête, qui a duré plus de huit mois, a également permis aux autorités de révéler tout le réseau criminel tissé entre les hommes de « Niño Guerrero », le leader de l’organisation originale « Tren de Aragua ».

L’enquêteur a déclaré à ce journal que l’organigramme de l’organisation est solide et que le pseudonyme Osmer est toujours à la tête, qui est détenu dans une prison, et de là, il commande toute l’opération « Niño Guerrero » en Colombie. Également alias Giovanny, qui a réussi à s’évader de la prison de Tocorón au Venezuela et qui est le responsable financier de l’entreprise criminelle.

Bureau du procureur général

Photo:Bureau du procureur général

L’enquêteur a déclaré à ce journal que l’organigramme de l’organisation est solide et que le pseudonyme Osmer est toujours à la tête, qui est détenu dans une prison, et de là, il commande toute l’opération « Niño Guerrero » en Colombie. Également alias Giovanny, qui a réussi à s’évader de la prison de Tocorón au Venezuela et qui est le responsable financier de l’entreprise criminelle.

« Lorsque le « Train Aragua » démarre en Colombie, « Niño Guerrero » a donné le contrôle à Giovanny, mais il est comme un fantôme car personne ne le connaît. Il a un profil très important car ‘Niño Guerrero lui confie toutes les finances de l’Amérique latine et collecte de l’argent au Chili, en Bolivie, au Panama, au Pérou, en Équateur, aux États-Unis et même dans des représentations en Chine », a déclaré le chercheur.

En dessous de Giovanny se trouve le directeur des finances de la Colombie, qui n’a pas encore été identifié par les autorités. Cet homme est chargé de collecter tous les revenus des réseaux criminels de Bogotá, tant du trafic de drogue que de l’extorsion. “Cet homme n’a pas pu être identifié et il est le bras droit de Giovanny et la ligne directe avec les hauts responsables de cette organisation criminelle”, a-t-il souligné.

Train d’Aragua.

Photo:Police métropolitaine de Bogota

Au-dessous du commandement managérial se trouvent les chefs de zone, qui sont neuf hommes qui contrôlent les entreprises dans les différentes localités de Bogotá. Parmi eux se trouvent alias Ratón, Caracas et Viejo Daniel, qui étaient les plus puissants et sont tombés lors du dernier raid des autorités. Ces criminels sont chargés de donner une ligne d’action dans les territoires, ils transmettent les ordres du commandement central et ils organisent les criminels les plus bas pour servir l’organisation.

« Le plus puissant d’entre eux était le ‘Vieux Daniel’, qui était responsable du secteur de María Paz. Cette zone est actuellement le joyau de la couronne pour les criminels car c’est là que se concentre toute l’activité du micro-trafic (…) Il y a une très forte dispute entre ‘les Paisas’, les ‘Tren de Aragua’, ‘les Cartuchitos’ et ‘les Caucanos’», » a souligné l’agent.

Un autre maillon de la chaîne, plus bas, ce sont les coordinateurs de zone, qui à leur tour sont ceux qui ont réellement des contacts dans les quartiers et les localités, ce sont eux qui promeuvent la délinquance et qui mènent des actions criminelles contre la population. « Ce sont eux qui effraient les gens et engagent des voyous pour commettre des extorsions, des vols et même des meurtres. »

JONATHAN TORO

Éditorial de Bogota

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