Par des décrets publiés au Journal officiel, Erdogan a libéré les détenus en tenant compte de leur âge avancé et de leur état de santé.
Les anciens responsables de l’armée ont été condamnés à la réclusion à perpétuité en 2018 pour ces événements qui se sont déroulés sans qu’aucun coup de feu n’ait été tiré, selon la presse locale.
Le 28 février 1997, les membres du Conseil national de sécurité de Turquie, composé de cinq militaires et de cinq hommes politiques de haut niveau, ont déclaré qu’il existait une « menace islamiste » dans le pays et ont publié un mémorandum exigeant la fermeture des écoles religieuses. , de tous les cours religieux privés et a interdit de nombreuses activités de ce type dans la nation eurasienne.
Les tensions générées dans le pays ont conduit le Premier ministre Necmettin Erbakan à démissionner et le chef du Parti de la Patrie (ANAP), Mesut Yılmaz, s’est vu confier la tâche de former un gouvernement.
Au cours de la mise en œuvre des décisions émanant des putschistes, des changements se sont produits dans les domaines politique, administratif, juridique et social dans un processus qui a été qualifié de « coup d’État postmoderne ».
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